Paris 2024 s’engage à éviter le gaspillage alimentaire lors des Jeux olympiques et paralympiques en signant une convention avec trois associations caritatives. Près de 13 millions de repas seront servis pendant l’événement, et la redistribution des invendus s’inscrit dans la politique de restauration responsable de Paris 2024.
Un partenariat pour une cause sociale et environnementale
Le Comité d’organisation des Jeux olympiques de Paris 2024 annonce la signature d’une convention avec la Fédération française des banques alimentaires, les Restos du Cœur et le Chaînon manquant pour redistribuer les invendus alimentaires pendant les Jeux. « La lutte contre le gaspillage alimentaire et la valorisation des ressources encore consommables sont des engagements clés de Paris 2024 pour une restauration plus responsable », déclare l’organisation. Cette initiative s’inscrit dans une démarche sociale et environnementale visant à réduire l’empreinte carbone et à favoriser une consommation plus durable.
Des actions concrètes pour un impact positif
Près de 13 millions de repas seront servis pendant les Jeux, et les organisateurs s’engagent à réduire le gaspillage alimentaire en redistribuant les invendus par le biais des associations partenaires. Ces mesures s’inscrivent dans un objectif plus large de réduction de l’empreinte carbone des Jeux par rapport aux éditions précédentes. « Nous avons pour objectif de diviser par deux l’empreinte carbone des repas par rapport aux Jeux de Londres en 2012, en mettant deux fois plus de végétal dans les assiettes », déclare le Comité d’organisation. Cette démarche reflète l’engagement de Paris 2024 en faveur de pratiques plus durables et responsables.
Engagement des associations et des autorités locales
La Fédération française des banques alimentaires, les Restos du Cœur et le Chaînon manquant joueront un rôle crucial dans la collecte et la redistribution des invendus alimentaires pendant les Jeux. Le soutien des autorités locales, représentées par Audrey Pulvar et Léa Filoche, témoigne de l’importance accordée à cette initiative pour lutter contre la précarité alimentaire et promouvoir une alimentation plus durable. La signature de cette convention marque ainsi une avancée significative vers des Jeux olympiques plus responsables et solidaires.