Au fil des années, il y a eu des documentaires qui ont secoué le monde dans son essence même, exposant les pratiques nuisibles et destructrices qui font des ravages sur les écosystèmes du monde, Seaspiracy est de ceux-là.
En 2013, le documentaire Blackfish racontait l’histoire de Tilikum, un orque en captivité qui a coûté la vie à trois travailleurs de parcs aquatiques animaliers. Ce documentaire enquêtait sur le stress extrême que subissent les animaux lorsqu’ils sont détenus dans ces environnements.
Plus récemment, le documentaire de 2017 What the Health, approuvé par Leonardo DiCaprio, a plongé dans les sombres secrets de l’industrie alimentaire.
Le nouveau documentaire de Netflix, Seaspiracy, devrait être le prochain puisqu’il examine l’impact négatif de la pêche commerciale dans sa globalité, en allant de la chasse commerciale à la baleine aux microplastiques, en passant par les élevages en fermes piscicoles et la surpêche.
Ce nouveau projet « révolutionnaire, axé sur l’océan » souligne l’urgence de protéger les océans de notre monde pour le bien de notre avenir.
Le nouveau documentaire, d’Ali et Lucy Tabrizi, ainsi que de Kip Anderson, le créateur de Cowspiracy et What the Health, documente la « sombre vérité sur l’industrie mondiale de la pêche et son impact sur notre planète ».
« Passionné par la vie océanique, un cinéaste entreprend de documenter les dommages que les humains font aux espèces marines – et découvre une corruption mondiale alarmante », lit-on dans son synopsis officiel.
Le cinéaste britannique aurait commencé son voyage en cherchant à exposer les effets nocifs de la pollution plastique dans nos océans, ainsi que la chasse à la baleine en cours au Japon, mais a fini par dénoncer la corruption juridique et éthique de l’industrie de la pêche commerciale.